Communication : un métier-patchwork ou une école de la débrouillardise ?
Je suis encore au tout début de ma carrière. Une stagiaire, dit-on. Mais ce stage m’a déjà appris une chose essentielle : la communication est un métier fou, complet, épuisant parfois, mais fondamentalement formateur.
🧺 Un métier-patchwork
La communication, c’est un peu comme un panier de la ménagère : il faut que tout y soit. Pas de vide. Pas d’oubli. Pas de « ce n’est pas mon rôle ».
Il ne s’agit pas seulement de rédiger ou de publier sur Facebook. Il faut souvent tout penser, tout faire, et tout assumer.
⚡ Il faut être dynamique
Le communicant doit être offensif, réactif, toujours en veille, toujours à l’écoute. Le monde va vite, les réseaux encore plus.
Celui qui ne court pas… reste sur place.
💪 Il faut être autonome
Dans ce métier, on n’attend pas qu’on te dise quoi faire. Et surtout, on ne te pardonne pas de dire « je ne sais pas faire ça ».
Attendre qu’on t’attribue une tâche précise selon ton intitulé de poste, c’est une erreur.
Le terrain t’imposera des réalités qui dépassent ta fiche de mission.
🎨 Il faut tout savoir faire (ou presque)
Une stratégie à proposer ? Tu la conçois, tu la présentes.
Un événement à couvrir ? Tu prends des photos, tu filmes, tu montes.
Une publication à créer ? Tu fais le visuel, tu rédiges la légende, tu trouves le bon ton, et parfois tu fais des miracles…
Pas toujours facile, mais stimulant. Et surtout, formateur.
Aujourd’hui, je ne suis qu’une stagiaire. Mais déjà, je vois clair.
Le monde du travail est exigeant. Il ne joue pas.
Mais quand on aime ce métier, quand on apprend à faire face, à créer, à proposer, à s’adapter… on devient plus qu’un communicant : on devient une force.
✍ Et toi, que retiens-tu de ton stage ou de tes débuts en communication ?
Je serais ravie de lire ton expérience en commentaire ! 👇
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